Mélany Bigot | Sniper des fautes d’orthographe | Correctrice freelance | Écrivain
Je traque toutes les coquilles et maladresses qui se sont glissées dans vos écrits.
Qui suis-je ?
Avec une faute d’orthographe dans mon prénom, pouvais-je rêver meilleur destin que celui de correctrice professionnelle ? Peut-être, mais il faut avouer que c’est quand même un drôle de hasard ! (merci Papa, merci Maman)
Comme le nom de ce site internet vous l’indique, je m’appelle Mélany Bigot, et le Y est parfaitement authentique. Je suis correctrice en freelance depuis 2019, anciennement rédactrice web. Mon travail consiste donc à dénicher toutes les coquilles dans vos écrits et à faire en sorte qu’ils soient aussi parfaits que possible au moment de vous les rendre. Je suis également écrivain et formatrice en écriture littéraire.
Dès mes années collège, j’ai commencé à me pencher sur le métier de correcteur. Travailler de chez soi, lire plein de choses, supprimer toutes les fautes avec un soin maniaque… Le rêve ! Mais tout le monde autour de moi a vite calmé mes ardeurs : « C’est impossible de devenir correctrice, change de projet. » Bon, curieux qu’il existe un métier impossible à pratiquer, mais soit. Après une brève année en Droit à regarder l’intégrale de Fringe au milieu de l’amphi, j’ai choisi de partir en Lettres modernes à Lyon. L’objectif ? Devenir prof de français. Mais une fois encore, la déception m’a frappée. Passer le CAPES : très peu pour moi. Je bifurque vers les Lettres appliquées, avec cette fois le projet de travailler dans l’édition.
À ce moment-là, ma vocation première repointe timidement le bout de son nez. En parallèle de ma licence, je cherche un stage chez un éditeur. Le seul à répondre à mes courriers se nomme Maurice, 84 ans, directeur d’Alter Éditions, une petite maison qu’il a créée et qu’il gère seul. Le stage n’a rien d’officiel, mais je prends l’habitude d’aller passer l’après-midi chez lui, où il m’apprend son métier, et surtout, la langue française dans ses moindres détails.