Bilan 2021 : ma deuxième année de freelance

Bilan 2021 : ma deuxième année de freelance

J’ai l’impression d’avoir écrit mon premier bilan il y a un mois. Et pourtant, nous voilà en octobre 2021, date à laquelle je souffle mes deux bougies de correctrice freelance. Deux ans déjà que je suis à mon compte. Et il s’en est passé, des choses. Des projets, des changements, des rencontres, mais aussi une grande fatigue et un presque burn out. Revenons ensemble sur ces douze derniers mois.

Bilan deux ans freelance 2021

Correctrice à 100 % maintenant

Tout d’abord, si vous souhaitez lire mon bilan d’octobre 2020, histoire de constater l’évolution, vous pouvez le trouver en cliquant ici. Lorsque je me suis lancée en freelance fin septembre 2019, j’avais la double casquette rédactrice web et correctrice. Je n’étais pas particulièrement fan de la première, parce que si j’adore écrire, le faire pour les autres est bien différent.

J’ai été rédactrice web pendant presque un an. Finalement, l’été dernier, j’ai eu tellement de propositions pour de la correction que j’ai pu progressivement arrêter la rédaction. Et à la rentrée de septembre 2020, j’étais correctrice à temps plein. Ce qui est toujours le cas aujourd’hui !

Bon, en vérité, j’ai conservé un client en rédaction, un survivant avec qui j’adore collaborer. J’écris plusieurs articles relativement courts chaque mois pour lui. Mais, en dehors de cette mission, je n’ai plus que des clients pour de la correction désormais.

Au moment où j’écris ces lignes, sans compter mon client en rédaction, j’ai 5 clients réguliers : le site Clubic, pour qui je travaille trois jours par semaine, un médecin du travail pour qui je corrige des posts, une entreprise de sécurité dont je relis les courriers, un traducteur et une association pour qui je corrige des newsletters. En parallèle, je prends environ deux missions ponctuelles par mois. Maintenant, j’ai la chance de pouvoir choisir les clients avec qui je travaille. Comme c’est ce que je préfère, j’accepte en priorité les romans.

Mes revenus sont enfin réguliers, surtout grâce à mes six clients ❤️ Je n’ai plus peur du lendemain, même si, évidemment, ça reste toujours angoissant d’être freelance. C’est d’ailleurs ce qui me conduit à accepter un peu trop de missions chaque mois… Mais nous y reviendrons.

Une croisade contre les faux correcteurs

Que ce soit à travers les interviews que je fais ou dans mes articles de blog, je me suis lancée depuis près d’un an dans une guerre contre les « faux correcteurs ». J’entends par là les personnes qui décident de devenir correctrices sans avoir suivi de formation au préalable.
D’autant que j’ai cru remarquer récemment un véritable engouement autour de la correction. Les nouveaux correcteurs fleurissent comme des pâquerettes, je reçois très régulièrement des messages pour me demander comment se lancer dans cette voie en freelance. Et, si je suis ravie de donner des conseils, je grimace un peu quand on m’envoie des choses du type : « Je veux devenir correcteur/correctrice, mais je ne pense pas avoir besoin de me former car je suis déjà excellent en français. »

J’essaye donc, à mon échelle, de sensibiliser autant que possible les futurs correcteurs à l’importance de se former, et pour de vrai (non, la licence de Lettres Modernes n’est pas suffisante) (pareil pour le Projet Voltaire).

Lancelot Sacré Graal

Du côté de LinkedIn

125 000. C’est le nombre de personnes qui me suivent actuellement sur LinkedIn. Et c’est juste ouf ! (pardonnez-moi ce verlan soudain)

Quand je me suis lancée sur LinkedIn, à reculons il faut bien l’admettre, jamais je n’aurais imaginé susciter un tel engouement autour de la langue française. Lorsque j’ai vu que 100 000 personnes me suivaient, j’étais sous le choc. Et encore aujourd’hui, en voyant ce nombre augmenter de jour en jour, je n’en reviens toujours pas.

Depuis mes débuts, ma ligne édito s’est affinée. Désormais, je publie deux posts par semaine, le lundi et le vendredi, presque toujours sur une règle de français. Il m’arrive parfois, rarement, de parler d’écriture ou de correction.

Grâce à toute cette visibilité que m’offrent LinkedIn et mes abonnés, j’ai reçu plusieurs invitations à des podcasts ou des webinaires. D’ailleurs, ça me fait tout drôle quand je repense à ma toute première interview pour le Café’In Live d’Amokrane Mariche l’été dernier. J’étais incroyablement stressée à l’idée d’être en direct ! Bon, aujourd’hui, je stresse toujours, mais un tout petit peu moins 😉
J’ai également eu le plaisir et la surprise de voir mon nom apparaître dans le Top Voices 2020 de LinkedIn, un classement de 20 influenceurs du réseau. Quand j’ai découvert les autres lauréats (notamment Anne Hidalgo et Bruno Lemaire), je me suis dit : « Ah ouais, quand même ! 😱 »

En vérité, ça me fait tout drôle de me dire qu’autant de monde suit mes contenus, les commente, les apprécie. Et ça me fait chaud au cœur : je ne travaille pas dans le vent et les gens s’intéressent à la langue française. Que demander de plus ? ❤️

De belles rencontres

Ne l’oublions pas, LinkedIn est un réseau social. Et grâce à lui, j’ai pu faire de très belles rencontres en cette deuxième année de freelancing.

Parmi elles, j’aimerais citer Ikram Nemili-Chibani, une rédactrice web spécialisée dans LinkedIn et dans le storytelling. Nous nous sommes rencontrées à nos débuts sur LinkedIn, et à force de papoter, une belle amitié est née. Et le plus incroyable ? Nous venons toutes les deux de la même petite ville du Berry !
J’ai également pu faire la connaissance de l’équipe de Copypost et de C’est vrai ça ?, deux pages LinkedIn centrées respectivement sur le plagiat et les fake news. J’apprécie particulièrement les petits déjeuners que nous prenons régulièrement ensemble pour refaire le monde de bon matin.

Après plus d’un an à travailler pour Clubic, j’ai aussi pu rencontrer en chair et en os ma collègue secrétaire de rédaction, avec qui je parlais toutes les semaines sur Discord sans l’avoir jamais vue en vrai. Ça me fait toujours tout drôle de passer du virtuel au réel, mais c’est là encore une très belle rencontre.

LinkedIn, mais aussi Instagram (alors que je n’y suis pas du tout active) m’ont de la même manière permis de rencontrer des consœurs en correction : Julie Merlo et Marion Navenant. Ce sont à la fois des personnes très sympathiques, mais également des correctrices très sérieuses que je recommande aux gens que je ne peux pas placer dans mon agenda.
Love you guys

Mes projets littéraires et entrepreneuriaux

Comme d’habitude, je publierai en fin d’année un bilan de mon année d’écriture sur mon blog d’écrivain. Mais je vais tout de même mentionner certains projets sur lesquels j’ai travaillé ici.
Tout d’abord, j’ai continué d’envoyer ma newsletter littéraire mensuelle dans laquelle je donne des conseils d’écriture. La dernière en date racontait comment J. M. Barrie s’est inspiré de sa vie et de ses vacances pour écrire son œuvre la plus connue : Peter Pan. Aujourd’hui, 3 600 personnes y sont abonnées.
Côté écriture, j’ai publié un nouveau livre en début d’année : Mon immortel, un roman en partie autobiographique et inspiré de mon adolescence, et notamment de ma période de harcèlement scolaire. C’était une grande étape pour moi de le révéler au public, et j’ai été très touchée par tous les retours que j’ai obtenus. Par ailleurs, je prépare un projet très cool autour de ce roman, mais je vous en parlerai en temps utile.
J’ai également été éditée pour la première fois dans une maison d’édition, Alopex. Son créateur, rencontré grâce à LinkedIn, m’a proposé de publier l’une de mes nouvelles dans un recueil intitulé Si tu me suis… Comme il fallait utiliser un pseudonyme, je vous laisse deviner quelle histoire est la mienne 😉
J’ai aussi pris part à l’aventure de Christopher Piton, À la conquête de LinkedIn, un guide pour apprendre à maîtriser ce réseau social. Avec onze autres créateurs de contenu, j’ai rédigé un texte publié dans ce livre pour raconter mon expérience et donner des conseils aux futurs linkediniens.
Et enfin, j’ai sorti ma toute première formation à destination des écrivains, « Débloquez votre écriture ». Une formation en ligne qui aide à commencer son roman dans de bonnes dispositions. J’y parle notamment inspiration, organisation et syndrome de la page blanche.

Le presque burn out qui a failli tout stopper

Bon, on arrive à la partie la moins fun de cet article. En début d’année 2021, je me suis approchée très dangereusement du burn out et j’ai bien failli tout arrêter. En soi, je n’avais pas envie d’arrêter mon travail. Mais je n’en pouvais plus. J’avais trop tiré sur la corde, et elle était prête à rompre.

Comment ça a commencé ?

Quand je me suis lancée en septembre 2019, je n’avais aucune idée de si mon entreprise allait décoller. Ni même marchouiller, en fait. J’étais tellement stressée à l’idée que ça ne fonctionne pas que je n’ai pas dormi pendant deux mois. Merci à l’euphytose et au chronobiane d’avoir contribué à régler ça.

Finalement, j’ai eu mes premiers clients, d’abord au compte-gouttes, puis mon activité a explosé en avril, avec des contrats réguliers et beaucoup de demandes. En parallèle, je rencontrais aussi le succès dont je vous ai parlé sur LinkedIn, avec en réaction énormément de messages, de commentaires et d’invitations.

Il a fallu que j’attende septembre 2020 pour oser poser mes premières vacances : 4 jours et demi où je suis partie en Savoie, sans Internet. Ça m’a fait un bien fou. Mais c’était bien peu après un an complet de travail acharné, sans compter mes heures, ni prendre de week-ends.

Dans les mois qui ont suivi, je ne faisais que travailler. Je voulais sortir ma formation d’écriture pour la fin de l’année, puis Mon immortel en début d’année 2021. J’acceptais toutes les missions qu’on me proposait, même si, pour les honorer, je devais travailler la nuit, le week-end ou les jours fériés. J’avais également tendance à me surestimer et à croire que je pourrais tout faire vite.

Mais malheureusement, je ne suis qu’un être humain (ça a été dur de réaliser que je n’étais pas une X-Man 🥺).

En mars, j’ai craqué. En recevant un mail de l’un de mes clients qui me demandait de travailler encore plus pour lui, j’ai fermé mon ordinateur et je me suis mise à pleurer. En fait, à ce moment-là, je ne voyais pas de solution. Dès qu’un projet se finissait, dix autres m’attendaient. C’était sans fin. Et je ne pouvais plus tenir comme ça.

So tired

Qu’est-ce que j’ai fait ?

Je suis encore là à vous écrire, alors c’est que je n’ai pas tout abandonné ! Aujourd’hui, je pense que je peux dire que ça va mieux, même si tout n’est pas encore parfait. Mais je peux aussi dire qu’en mars 2021, j’étais au fond du trou, à pleurer pour un rien, à mal dormir et à n’avoir plus envie de rien.

À ce moment-là, je suis tombée sur le podcast de Tribu Indé qui parlait justement du burn out chez les freelances. Je n’avais pas le sentiment d’être au même point que l’invité qui racontait son expérience, mais je n’avais pas du tout envie d’y arriver. C’est là que j’ai réalisé qu’il fallait que j’agisse, et vite.

J’ai donc commencé par rompre les collaborations qui ne me correspondaient plus ou qui me prenaient le plus de temps pour ne garder qu’un petit noyau dur (mes six irréductibles réguliers du début ❤️). Comme j’avais accepté plusieurs missions ponctuelles pour les mois à venir, je les ai toutes annulées en conseillant à chaque fois une correctrice pour me remplacer.

C’est d’ailleurs quelque chose qui m’a beaucoup soulagée : avoir rencontré des correctrices sérieuses que je pouvais recommander les yeux fermés, sans me dire que mes clients risquaient de tomber sur des arnaqueurs ou des incompétents.

Pendant plusieurs mois, je n’ai plus accepté de nouvelles missions et je me suis contentée de mes six clients, qui me permettaient d’avoir un revenu suffisant pour vivre. Et surtout, j’ai appris à dire NON. Ce petit mot si simple que j’étais incapable de prononcer.

No The Office

LinkedIn m’a submergée

En arrivant sur LinkedIn, je m’étais promis de répondre à tous les messages que je recevrais, toutes les invitations de connexion, toutes les questions, tous les commentaires, toutes les mentions. Bref, de ne jamais snober personne.

Plutôt facile quand on a dix commentaires qui se courent après et trois invitations hebdomadaires. Mais lorsqu’on reçoit une trentaine de messages par jour, c’est vite plus compliqué 😅

Pour commencer, j’ai caché l’option « Se connecter » pour mettre en avant le bouton « Suivre ». Ainsi, je recevais beaucoup moins d’invitations et de messages qui vont avec. J’ai également ralenti le rythme des publications, en passant de trois à deux par semaines. Quant aux commentaires, je répondais dans les premières heures, mais je ne me forçais plus à le faire à tout prix.

Évidemment, j’ai eu peur que les gens arrêtent de me suivre et que mon engagement diminue, mais j’ai été infiniment soulagée et touchée de voir que ma communauté était toujours là.

Il y avait certes quelques rageux qui étaient mécontents que je poste moins ou que je n’aie pas répondu à leur message privé dans lequel ils me posaient trente questions d’orthographe. Mais là aussi, j’ai pris du recul. Mes posts sur LinkedIn sont faits à titre gratuit, alors je ne dois strictement rien à personne. Si les gens ne sont pas contents, ils n’ont qu’à en rédiger eux-mêmes 😜

Je suis donc passée de cinq heures quotidiennes à moins d’une heure de LinkedIn par jour, et je me suis interdit de me connecter le week-end. Lentement, mais sûrement, mon stress est redescendu à mesure que je retrouvais quelque chose de perdu depuis longtemps : du temps libre.

Six mois après, c’en est où ?

En mai, un miracle s’est produit : j’ai pris une semaine de vacances. Ma première semaine complète de vacances depuis septembre 2019. Au programme, grasses matinées à volonté, Kaamelott en boucle et écriture. Ça m’a fait un bien fou. J’ai remis ça en août, avec deux semaines cette fois-ci.

À chaque fois, je me suis formellement interdit d’aller sur LinkedIn et d’ouvrir ma boîte mail. Cette déconnexion totale m’a une nouvelle fois fait beaucoup de bien.

J’ai fini par réaliser que je n’avais pas besoin de remplir à tout prix mon emploi du temps. J’avais mes clients réguliers, des demandes entrantes régulières aussi, il fallait que je sorte de cette course aux clients que je poursuivais depuis mes débuts. Ce ne fut pas simple, ce n’est pas encore totalement rentré dans ma petite tête, mais c’est en bonne voie 😉

Désormais, j’essaye d’alléger mon emploi du temps pour trouver un bon équilibre entre mon travail, mes projets et mes loisirs. Ce n’est pas toujours facile, j’ai tendance à vite me laisser dépasser dès que j’ai un peu trop d’obligations (genre devoir appeler quelqu’un dans la journée, ça me coupe toute motivation de faire quoi que ce soit 😅).

Et puis, je me suis fait aider. Je vois une psychothérapeute depuis déjà plusieurs années, et elle m’a aidée à traverser cette sombre période et à me recentrer sur l’essentiel.

J’en profite également pour remercier mes proches d’avoir été adorables pendant ces quelques mois de non-fun ❤️

Et maintenant ?

Vous êtes encore là ? Désolée, j’ai encore pondu un sacré pavé… Mais c’est si dur d’être concis lorsqu’il s’agit de résumer une année entière ! La vie de freelance est pleine de rebondissements, elle peut très vite varier d’un mois à l’autre, alors c’est extrêmement difficile d’en parler en trois phrases.

Vous l’aurez compris avec la (longue) dernière partie de ce bilan, je souhaite trouver un meilleur équilibre et m’y tenir : ne plus jamais travailler les week-ends, trouver du temps pour mes projets personnels, avoir droit à de vraies soirées, profiter de mes loisirs. Juste regarder un film en une seule fois, ça ne m’est pas arrivé depuis des mois ! Pour ça, je compte bien reprendre des vacances, et certainement pas dans un an !

Côté travail, je vais continuer de travailler avec mes clients et je n’accepterai plus que les missions ponctuelles et les projets qui m’emballent vraiment.

Par ailleurs, il se pourrait que j’aie signé un contrat avec une maison d’édition. Un contrat de type « j’écris un livre pour un éditeur qui va le publier ensuite » 😁 Mais je vous en reparlerai en temps utile.

It's a secret

Quoi d’autre ?

Voilà un bon moment que j’aimerais me lancer sur Instagram. En tant qu’écrivain et formatrice en écriture, je pense que je peux davantage toucher de gens sur ce réseau. Sauf que… je n’y connais strictement rien, et en plus, je n’ai pas de smartphone pour faire des photos. Qu’à cela ne tienne, j’ai l’honneur de vous annoncer que j’ai décidé de déléguer ce travail à une personne compétente, j’ai nommé Marine Bigot. Et non, le nom de famille n’est pas un hasard, puisqu’il s’agit ni plus ni moins de ma chère sœur.

En parallèle, j’aimerais continuer de développer ma formation d’écriture avec un module complémentaire que j’ai en tête depuis un moment. Et évidemment, sortir d’autres formations (d’écriture… et d’autres choses 😏).

J’ai aussi plusieurs romans terminés sous le coude qui attendent d’être publiés. J’en ai d’autres à écrire, bien entendu. À l’heure où je tape ces lignes, je me prépare justement à en commencer un nouveau. Un teasing ? Il s’appellera Les Loups-garous de Bordehouat.

Et, bien sûr, j’aimerais me consacrer à des projets en rapport avec l’orthographe. J’en ai déjà plusieurs à l’esprit, mais comme j’ai toujours en tête la mauvaise expérience de m’être fait voler une idée de projet parce que j’avais trop parlé, vous saurez tout plus tard 🤫

Et vous alors, comment s’est passée votre année 2021 ?



16 thoughts on “Bilan 2021 : ma deuxième année de freelance”

  • Bravo à vous d’avoir su dire stop à temps ! Savoir dire non n’est pas chose facile quand on est passionnée. Beau parcours, belle reconversion. Votre sérieux et votre professionnalisme a payé.

  • Bien intéressant tout ça. Depuis quelques temps, j’essaye de trouver un chemin pour rallier travail, famille et écrire. La voie du freelance est une possibilité, mais elle me stresse terriblement. Votre bilan fait baisser le baromètre de mon angoisse. Merci.

  • Bonsoir,

    Tout d’abord, je ne peux que vous féliciter. J’aimerais tellement rencontrer votre succès et écrire les mêmes phrases que vous dans 2ans…bon je précise, les phrases relatives à votre succès, pas celles du burn out. En effet, je l’ai vécu et je ne veux pas revivre cette période. Malheureusement, j’ai créé depuis quelques mois mon entreprise de secrétariat juridique indépendant et la désillusion est grande. Je n’ai pas de client… De la prospection qui fait « choux blanc * malgré un accueil chaleureux des secrétaires salariés et des professionnels du droit. Bref, je suis admirative de votre travail et de votre persévérance.

    • Bonsoir Aurélie,
      Merci beaucoup pour votre message 😊
      Je suis désolée d’apprendre que vous rencontrez des difficultés… Avez-vous tenté de montrer vos compétences via une stratégie de création de contenus sur LinkedIn ?

  • Bravo !!! et j’adore tes posts ! ils sont si inspirants! continue et surtout prends soin de toi ! on a qu’une vie alors autant faire les choses qui nous plaisent vraiment

  • Bonsoir,

    Merci pour votre captivant partage d’expérience.

    Je vous encourage dans ces décisions qui vous ont permis de sortir la tête de l’eau avec la spirale infernale du burn out.

    Passionné de Belles- Lettre, j’adore l’orthographe et souhaiterais embrasser le métier de correcteur.

    Quelle formation puis-je suivre en conséquence ?

    Merci d’avance !

    Christian LEVO

    • Bonsoir Christian, merci beaucoup ! 😊
      Pour devenir correcteur, je peux vous recommander la formation de l’ÉMI. Je ne l’ai jamais testée, mais j’en ai eu de très bons échos !
      Bon courage à vous 🙏

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